0
12

Avouer…

Avouer… Reconnaître… Admettre… Constater… Réaliser…
Culpabiliser…. Étouffer….

Et un bon matin, prendre le téléphone pour annuler une thérapie parce que c’est trop. Qu’on sent une faille qui veut s’ouvrir et qu’on sait que si ça arrive, on risque de tomber dedans…. Qu’on y est déjà en fait (ou presque) et que pour ne pas s’enliser, on doit refuser et rapidement se réaligner. On essaye de réfléchir, de communiquer ses besoins. Encore faut-il les reconnaître. On demande de l’aide.

On souffre, on se sent coupable, mais on est
incapable d’en faire plus.

Puis, bonne nouvelle. On reçoit un appel du centre de réadaptation de sa Fillette. Ils ont réussi à regrouper les r.v., en offrant trois thérapies en alternance… On se sent pleine de reconnaissance. On a le goût de Pleurer!

On retient que d’avoir demandé de l’aide en avouant nos faiblesses (ou simplement que notre réalité quotidienne est difficile et qu’on y arrive plus) a porté fruit… Qu’il existait une solution toute simple. Enfin!

Vous pourriez aussi aimer

Abonnez-vous à mon infolettre!


 

Et recevez gratuitement l’outil « 20 informations incontournables à partager avec les intervenants de mon enfant »

 

Pin It on Pinterest

Share This