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Suicide


Cette semaine, c’est la semaine nationale de prévention du suicide et à chaque annonce, à chaque partage, je me sens visée, comme si j’avais perdu quelqu’un de très proche moi aussi.


En fait, cela a bien failli arriver, ce mal de vivre, ce besoin d’arrêter de souffrir, ce désir de mettre le bouton à « Off », une très bonne amie à moi l’a vécu. On pourrait même dire qu’elle était tombée très bas.

Pourtant, elle avait étudié, voyagé et connu de nombreuses expériences enrichissantes. Elle vivait avec un bon gars qui l’aime, avait une maison, des chats, deux enfants, des amis, un emploi valorisant, un bon réseau social et même quelques talents.

C’est arrivé sournoisement, sans vraiment comprendre que ce mal-être l’attirait vers le fond, vers des scéanios qui sentent la mort et les fleurs de salon. Sa vie n’était pas facile, mais elle avait toujours été forte malgré les épeuvres et elle continuait de faire face avec entêtement et ses dernières énergies qu’on appelle parfois « la force du désespoir »…

Sans le réaliser, ses besoins de sommeil et de répit étaient en train de se transformer en un plan d’ultime voyage pour arrêter cette grande souffrance. Elle rêvait de plus en plus à un sommeil profond sachant que si elle vidait la pharmacie familiale, elle y arriverait et que tout s’arrêterait.


*****
Qu’est-il arrivé à cette bonne amie?
La suite ici

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