Mon titre est un peu trop sérieux pour la fille que je suis. Mais, il me vient en tête après cette semaine pas ordinaire. Je m’explique.
Hier matin, Papabooh! a réalisé que notre nouveau mur fraîchement plâtré suintait l’eau. Nous sommes en train de faire faire notre sous-sol pour y aménager une salle familiale, un bureau pour lui et un espace (bureau/atelier/refuge/entrepôt) pour moi! C’est un ami d’enfance qui y travaille, tout était à faire et nous étions à quelques jours de voir le projet se concrétiser.
Les gars ont dû ouvrir le nouveau mur et les rénos sont plus ou moins en plan, tant que le problème n’est pas réglé, on ne peut pas refermer le tout et ça risque d’être long puisqu’une partie du travail devra se faire pendant la saison chaude. Il semblerait que les pluies abondantes ont eu raison de l’étanchéité des joints entre les pierres. Ma belle maison-bonheur pleure par en dedans…
Si ma vie était plus simple et facile, je pense que je serais un brin découragée. Un dégât, des rénos et des $ à l’eau, des complications possibles, Papabooh! qui devra bosser dans la cuisine pour quelques semaines, des boîtes empilées partout qui attendent la fin de travaux (le plan étant de commencer du sous-sol vers le haut).
C’est bien plate, mais on ne parle que de dégâts matériels, pas de vie humaine. Bien que je revendique le droit d’avoir un petit congé de péripétie, dans mes préoccupations, cela n’arrive pas en haut de la pile, il a ce que je vous partage ici et là, mais aussi d’autres soucis comme mon papa qui arrive avec deux bottes différentes (dont une grosse genre de ski-doo) et ma maman qui souffre d’une maladie chronique.
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Sur une note plus joyeuse, j’ai une amie qui m’a généreusement partagée que dans son entourage, toutes les personnes qui avaient vécu un dégât d’eau suite à un déménagement nageaient (!) maintenant dans le bonheur (merci Caroline). Ça promet!
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Et vous, comme voyez-vous votre verre d’eau?
Est-il a moitié plein? Ou plutôt à moitié vide?
