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Je craque pour toi mon coco!

Avec le retour des beaux jours, Fiston est retourné « aider » les voisins à nourrir les animaux et la première fois, il est revenu avec un trésor! Des oeufs frais qu’il avait lui-même « cueilli » dans le foin. Il était tellement content, excité et calme à la fois, heureux, confiant et excité, c’était beau à voir et ça me fait encore le même effet juste d’y penser.
La troisième fois, il est revenu avec 5 autres cocos, on se promet de bons oeufs brouillés pour le week-end prochain. J’ai même une option sur les poules d’un collègue (vous avez bien lu, certains élèves de mon école ont la chance d’avoir dans leur classe deux poules qui se promènent librement). Depuis que Marie-Claude Lortie parle des poules en ville, que je vis en campagne et qu’une amie me titille sur le sujet, je rêve secrètement d’avoir mes propres pondeuses…
Deux belles rousses qui se promèneraient dans ma cour librement le jour, retourneraient au poulailler pour dormir sagement (et se protéger des méchants), mangeraient les insectes nuisibles, enrichisseraient mon jardin, égayeraient nos repas de leur oeufs et pourquoi pas, nos futurs bricolages de leurs plumes perdues!?!
Ouin… Je rêve là! Mais une chose est certaine, je sais qui pourrait m’aider. J’ai même en tête des parents adoptifs pour mes poulettes si jamais l’expérience s’avérait en être une à oublier. Alors, en attendant de prendre une décision (en fait, c’est Papabooh! qui branle dans le manche!), j’accompagne Fiston dans son enthousiasme et le week-end prochain, j’irai avec lui voir les petits cochons. Il paraît qu’ils sont rendus bien ronds!

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