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Vivre à la campagne: un choix. #jeudiconfession

 Il y a quelques temps, j’ai eu l’occasion de jaser au sujet de notre choix de vivre à la campagne il y a 5 ans. J’ai passé un bon 45 minutes à vanter ce choix et ces avantages, puis, nous avons eu une belle panne d’électricité de plus de 24 heures, ce qui veut aussi dire, pas d’eau comme dans « pas de douche, de toilettes, etc. »

Vivre à la campagne: un choix. #jeudiconfession
Fiston et moi, photographiés par David Boily de LaPresse

C’est exactement cette journée que le photographe devait venir nous photographier. Je dis nous, mais finalement, l’Homme travaillait à l’extérieur alors que Fillette, elle, a décidé de ne pas sortir dehors pour les photos. Elle ne voulait pas, n’avait pas le goût et j’ai décidé de respecter cela.

Nous sommes donc sortis, Fiston et moi pour prendre quelques photos.

Quelques heures plutôt, c’était si beau, givré, avec du soleil, etc. Mais c’est la gadoue et les tons de gris qui attendaient notre photographe. Tant pis.

Ce fut une belle expérience, un beau moment et surtout, de si beaux souvenirs. Voici une de mes photos préférées, où l’on nous voit, Fiston et moi, sur notre balcon arrière avec la merveilleuse vue sur la ferme de mes voisins.

Avouez, c’est beau, non? Bon, j’avoue, c’était aussi pas mal frette dans la maison, j’avais très hâte de retrouver l’électricité, craignant perdre le contenu de mon congélateur ainsi que des dégâts dans les tuyaux.

Vivre à la campagne était plutôt un rêve de fin de vie, de retraite, puis, un jour, j’ai commencé à rêver d’un maison-bonheur et en deux semaines, nous avons vendu et acheté celle-ci. Elle était pour nous. Surprenante, au milieu d’un rang isolé, pas exactement comme nous le souhaitions, mais il n’y a pas un jour que je regrette notre choix.

Et vous, le feriez-vous?

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