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Voir le beau et la lumière, même si

Je suis une hyperactive contemplative. Je m’explique, j’ai de la difficulté à m’arrêter, j’ai toujours plusieurs projets qui me passionnent en même temps, mes intérêts sont multiples, etc. Mais quand j’ai la chance de regarder dehors, ce qui arrive surtout lors de mes déplacements, je suis parfois frappée par la beauté du paysage, de mon environnement.

Voir le beau et la lumière, même si Julie Philippon
Un moment de grâce capté au retour d’un rendez-vous matinal

Soufflée. 

J’oublie tout. 

Je ne suis que là. 

Ça me remplit de grâce et de gratitude, comme si mes problèmes n’existaient plus, comme si le temps s’arrêtait, comme si tout du coup, tout était beau, simple, mais surtout possible.

Je vois le beau et la lumière, même si.

Et parfois, les « si » sont si nombreux et lourds, sombres et douloureux, qu’immédiatement, je me sens déjà mieux, inspirée par tant de beauté.

Suis-je la seule qui s’arrête parfois en pleine rue pour contempler un rayon de soleil qui perce les nuages? Qui s’exclame en pointant du doigts le contraste entre les champs dorés et les ciels argentés?

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